C’est un endroit principalement logé le long d’une autoroute, où l’on peut accéder à une toilette (parfois même gratuite), prendre une douche, remplir nos réserves d’eau potable, stationner la camionnette pour y passer la nuit, boire un café et manger un repas chaud (cher, mais efficace), se prélasser sur une terrasse, recycler nos déchets (plutôt par principe, car on retrouve n’importe quoi dans les conteurs…), retirer de l’argent au guichet, recharger nos équipements électriques et naviguer sur internet gratuitement. Ah, et ils vendent aussi de l’essence.
Aussi, la Copec publie chaque année une carte routière conviviale et bien détaillée, ainsi qu’une carte des parcs dont Marie et Vincent (anciens proprios du Galactica) nous ont gentiment laissé leur copie. Par contre, au mois de décembre, c’est la pénurie. Nous nous sommes arrêtés à chaque Copec depuis le début du voyage et partout les réserves sont épuisées. Et au Chili, il ne semble pas y avoir de cartes routières disponibles outre que celles de la Copec (sauf son compétiteur YPF, victime aussi de la pénurie). Voilà donc pourquoi nous sommes sans ressource côté cartes. Nous avons même essayé de soudoyer une dame du bureau de tourisme pour qu’elle nous vende la sienne, mais elle y tenait mordicus. Pas de veine.
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