Chalet avec vue sur le lac et les montanges, 6 jours de ski, quelques bouteilles de vin et un bain tourbillon, la grosse vie sale quoi...
Le Kea, un perroquet alpin neo-zélandais.
lundi 14 septembre 2009
lundi 17 août 2009
dimanche 2 août 2009
Brisbane
Petit week-end à Brisbane, ville magnifique construit autour d’une rivière sinueuse, avec au menu notre activité australienne préférée : flatter un koala!!! En regardant attentivement, on peut remarquer des rougeurs sur le menton de Sara. Le premier Koala que nous avions était plus jeune et affamée, eh oui c’était une femelle. Sara avait tellement bien imité l’arbre pour ne pas stresser le koala que ce dernier a été berné, à un tel point qu’elle a voulu y gouter ses feuilles. Sara croyait avoir le droit à un baiser de Koala lorsqu’elle approcha son museau de son visage. Malheureusement pour Sara, le Koala avait plutôt envie de goûter à un menton canado- japonais et oups le baiser fut finalement une bouchée.
Heureusement, les Kangourous étaient plus tranquilles et se laissèrent flatter paisiblement. Christian a même pris le temps de se reposer un peu avec quelques amis, tandis que Sara discutait avec ses amis volatiles à propos de la pluie et du beau temps. Ces derniers tenaient tête à Sara puisque selon eux il ne servait à rien de parler de la pluie puisqu’il ne pleut jamais ici.
Puisque l’Australie n’est pas uniquement des plages à perte de vue, nous avons fait une escapade dans la Rainforest sur une route à peine large pour une voiture, zig zaguant entre les lianes et les falaises abruptes. Malheureusement, nous n’avons pas croisé le chemin du serpent locataire des lieux, mais nous avons pu admirer la vue de la cime des arbres grâce à une passerelle de 30 mètres d’altitude coiffant le généreux feuillage végétal.
Évidemment nous avons fini notre voyage sur la plage à Surfers Paradise question de profiter des vagues et de l’eau chaude pour une petite baignade. Bon, mis à part les Surfers en wetsuit, il n’y avait que quelques enfants et Christian qui se baignaient. C’est quand même l’hiver ici. Au Chili, nous n’avions que des photos de volcans alors qu’en Australie, il est maintenant évident que c’est au tour des koalas et des kangourous. Réjouissez-vous puisque le prochain blog portera non pas sur l’Australie, mais sur la Nouvelle-Zélande. Fini les Kangourous et place à de la neige. Une petite semaine de ski en début septembre nous permettra de fraterniser à nouveau avec les montagnes et le froid.
Heureusement, les Kangourous étaient plus tranquilles et se laissèrent flatter paisiblement. Christian a même pris le temps de se reposer un peu avec quelques amis, tandis que Sara discutait avec ses amis volatiles à propos de la pluie et du beau temps. Ces derniers tenaient tête à Sara puisque selon eux il ne servait à rien de parler de la pluie puisqu’il ne pleut jamais ici.
Puisque l’Australie n’est pas uniquement des plages à perte de vue, nous avons fait une escapade dans la Rainforest sur une route à peine large pour une voiture, zig zaguant entre les lianes et les falaises abruptes. Malheureusement, nous n’avons pas croisé le chemin du serpent locataire des lieux, mais nous avons pu admirer la vue de la cime des arbres grâce à une passerelle de 30 mètres d’altitude coiffant le généreux feuillage végétal.
Évidemment nous avons fini notre voyage sur la plage à Surfers Paradise question de profiter des vagues et de l’eau chaude pour une petite baignade. Bon, mis à part les Surfers en wetsuit, il n’y avait que quelques enfants et Christian qui se baignaient. C’est quand même l’hiver ici. Au Chili, nous n’avions que des photos de volcans alors qu’en Australie, il est maintenant évident que c’est au tour des koalas et des kangourous. Réjouissez-vous puisque le prochain blog portera non pas sur l’Australie, mais sur la Nouvelle-Zélande. Fini les Kangourous et place à de la neige. Une petite semaine de ski en début septembre nous permettra de fraterniser à nouveau avec les montagnes et le froid.
jeudi 11 juin 2009
"Ze" Grande Barrière de Corail
Après quelques milliers de km vers le nord, direction Cairns (on vous met au défi de trouver la prononciation australienne pour ce mot), enfin la chaleur! Il paraît que c’est un « must » de venir plonger à la Grande Barrière de Corail, donc nous voici inscrits à un cours intensif pour apprendre à faire les poissons. Après 2 jours de pratique en piscine avec une bande de joyeux lurons, nous sommes prêts à partir en mer, 3 jours sur un bateau avec au menu rien que de la plongée, de 6h00 am jusqu’à la tombée de la nuit, quand les requins viennent rôder… Eh oui, nous avons plongé en pleine nuit avec nos lampes de poche, nous et 5 autres débutants plus ou moins en contrôle de notre direction, qui se bousculions tous (toujours sans trop de contrôle) pour voir ce que la guide nous montrait. Au moment où Chris était aux premières loges, une murène surgit d’un sombre orifice et s’avance gueule béante vers lui, sans échappatoire avec les 6 balourds qui le poussent pour voir la bête de presque 2 m de long. Quelle amusante soirée!
Côté poissons, on a trouvé Nemo! Ce ne fût pas facile avec la quantité abondante de poissons dans ces récifs… Et au récif Norman, il y a même un dénommé Wally (malheureusement pas de photos de ce gros poisson de 2 m) qui vient rôder autour des plongeurs pour un peu d’affection :)
Côté poissons, on a trouvé Nemo! Ce ne fût pas facile avec la quantité abondante de poissons dans ces récifs… Et au récif Norman, il y a même un dénommé Wally (malheureusement pas de photos de ce gros poisson de 2 m) qui vient rôder autour des plongeurs pour un peu d’affection :)
Mention spéciale pour My-Chi et Nat : on a mit une photo de Sea Cucumber, cette fameuse créature marine que l’on retrouve dans des plats trop « chinois » pour un simple mortel québecois… Fait intéressant, cet animal respire par l’anus. Autre fait intéressant, son anus est aussi l’hôte d’un petit poisson qui vient s’y réfugier toutes les nuits. Pourquoi le Concombre de mer endure un intrus dans son anus? Il ne le veut pas, mais il doit bien respirer (par son anus) et le brillant poisson y entre à ce moment.
samedi 18 avril 2009
Escapade dans le Sud
Après un été de kite bien rempli, il est maintenant temps de visiter un peu la région. Nous partons donc vers le parc national Wilsons Promontory, la dernière pointe au sud avant l’Antarctique (bon, sans compter la Tasmanie…). Ici aussi les feux ont laissé leur marque, une grande portion du territoire est brûlée et seuls quelques micros palmiers refont surface au milieu des cendres. Du haut du promontoire, on peut tout de même apprécier l’attrait numéro 1 australien : l’océan et les plages. Cette région est aussi fameuse pour ses sites de kites paradisiaques, notamment à Shallow Inlet, une baie entourée de dunes de sable où de nombreux records de vitesse ont été enregistrés.
Mais comme le vent n’était pas de la partie, on s’est aussi souvenu qu’il existait autre chose dans la vie que le kite. Nous avons donc enfourché nos vélos pour traverser la campagne et les prés de vaches avant de rejoindre la route côtière.
À défaut de rencontrer le mystique Wombat australien (le plus gros rongeur du monde), nous avons pu admirer de jolis perroquets qui faisaient la fête au camping.
Et comme toute expédition ne saurait être complète sans notre loisir préféré, nous avons tout de même réussi à kitesurfer quelques vagues …
Nouvelles traitement d’eau et boulot : KBR a remporté un super contrat ($$$) pour une usine de réutilisation d’eaux usées, hyper innovateur dans le domaine et enfin du pain sur la planche! Le grand boss a ouvert les caisses de champagne.
Pour Christian, le marché a recommencé à bouger et il a passé plusieurs entrevues dans la dernière semaine. Entre temps, il enseigne le kite.
samedi 21 mars 2009
Les kangourous
Une chose importante restait encore à accomplir afin de faire de l’Australie notre nouvelle demeure : les Kangourous, gentiment appelés Roo. Un endroit était tout approprié pour nous mener au succès de notre rencontre, les Grampians. Ce parc national est réputé non seulement pour ses randonnées et sites d’escalades, mais également pour ses nombreux Kangourous. Nous nous y sommes alors rendus en compagnie de nos premiers invités Val, Joe (amis du secondaire et de l’université) et leur fils Félix.
Dès notre arrivée au camping, nous sommes partis à la recherche de Kangourous. Après avoir photographié à maintes reprises le premier que nous avions rencontré sur notre quête zoologique, nous nous aperçûmes que les Kangourous étaient aussi nombreux dans le camping que les écureuils au parc La Fontaine à Montréal. Il était donc possible de déjeuner et diner avec les Roos, tout simplement fabuleux. Nous surprimes même quelques jeunes Kangourous finir les restants de bière de nos voisins campeurs.
Dès notre arrivée au camping, nous sommes partis à la recherche de Kangourous. Après avoir photographié à maintes reprises le premier que nous avions rencontré sur notre quête zoologique, nous nous aperçûmes que les Kangourous étaient aussi nombreux dans le camping que les écureuils au parc La Fontaine à Montréal. Il était donc possible de déjeuner et diner avec les Roos, tout simplement fabuleux. Nous surprimes même quelques jeunes Kangourous finir les restants de bière de nos voisins campeurs.
Les routes de terres rouge et les champs d’herbe jaune parsemés ici et là de majestueux arbres nous rappellent facilement les décors de Skippy The Bush Kangooroo (vous vous souvenez des paroles? Nous on ne se rappelait que de Skippy la bouche pleine de mouches... http://www.youtube.com/watch?v=uRQnrY5V-rY). En cherchant les sites d’escalades et de bloc, nous avons vite compris pourquoi les Australiens appellent parfois le trekking du bushwalking. Il ne s’agit pas ici de suivre l’ancien président dans ses méandres politiques mais bien de percer les épais buissons secs qui forment une aride jungle.
Autre fait intéressant concernant les Kangourous: dans notre région, on peut voir des petits Skippy, mais au plus nord, il y a les grands Reds Roos. Remarquez les pectoraux de ces marsupiaux, mieux vaut ne pas les obstiner...
Autre fait intéressant concernant les Kangourous: dans notre région, on peut voir des petits Skippy, mais au plus nord, il y a les grands Reds Roos. Remarquez les pectoraux de ces marsupiaux, mieux vaut ne pas les obstiner...
mercredi 18 février 2009
Great Ocean Road
Afin de nous évader des vagues de chaleurs extrêmes, 45 degrés C, qui étouffaient le continent, nous (Sara, notre ami Ryan et moi) quittâmes Melbourne pour la Great Ocean Road. Une canicule est toujours moins pénible loin des grands centres urbains et à bord d’une voiture munie d’un air climatisé. Cette route se trouve à la position numéro 2 dans le top 7 des plus belles routes côtières de la planète et fort probablement de l’univers puisque jusqu’à maintenant, aucune route n’a été construite ou découverte sur une autre planète. (ref : http://mens7-stg.sputnikagency.net.au/men7-askmen.php?vxChannel=TOP7&vxClipId=2615_TOP7_Coastilne_%20 )
La route commença à Torquay, la capitale du surf, où se trouve la légendaire Bells Beach et l’une des compétitions de surf les plus attendues chaque année. Tout surfeur ou film incluant des surfeurs finissent par en parler.
La route commença à Torquay, la capitale du surf, où se trouve la légendaire Bells Beach et l’une des compétitions de surf les plus attendues chaque année. Tout surfeur ou film incluant des surfeurs finissent par en parler.
C’est d’ailleurs sur cette plage que se termine le film Break Point. La route serpentaient plages et criques de manière suffisamment intime pour nous faire toucher du regard ces endroits de repos et de surf idylliques. Une fois nos yeux bien remplis d’images, la route quitta la rive pour longer une falaise qui s’étirait sur plusieurs centaines de kilomètres. Une vue aérienne de plages, rochers et vagues se jetèrent à nos pieds. Cette falaise avait tant à nous offrir, tellement plus qu’uniquement des autobus remplis de Japonais ou d’Allemands. Les 12 apôtres et le London Bridge nous y attendaient patiemment depuis quelques milliers d’années. Vu notre retard, la moitié des apôtres étaient déjà tombés de fatigue et plus que 6 nous saluèrent.
La fin de semaine prochaine, des amis de Dubaï nous rendront visite. Ils arriveront juste à temps pour la saison des méduses. Heureusement, elles ne sont pas dangereuses, il faut juste ne pas être dédaigneux quand tu essaies de reprendre ta planche de kite pour pousser de la main ou du pied ces masses gélatineuses. C’est un peu comme jouer dans un gros bol de jello.
Sara fût malgré tout déçue puisque nous n’avons toujours pas vu de Kangourou. En revenant par les terres, nous pensions que nous pourrions en apercevoir quelques uns batifoler dans les jaunes prairies australiennes, mais ce « feu » en vain.
La fin de semaine prochaine, des amis de Dubaï nous rendront visite. Ils arriveront juste à temps pour la saison des méduses. Heureusement, elles ne sont pas dangereuses, il faut juste ne pas être dédaigneux quand tu essaies de reprendre ta planche de kite pour pousser de la main ou du pied ces masses gélatineuses. C’est un peu comme jouer dans un gros bol de jello.
lundi 26 janvier 2009
Kite Surf!
Pour ceux qui se demandent comment nous occupons 95% de nos temps libres (l’autre 5% est pour regarder des vidéos de kite sur you tube, manger du gélato et aller à des partys suédois), voici un petit vidéo de kite surf. Bon visionnement!
vendredi 2 janvier 2009
Les Koalas
Pour Noel, nous nous sommes offerts des kangourous et des koalas. Après tout, nous avons déménagé en Australie uniquement pour voir ces animaux. Nous avons alors mis les bagages dans la voiture de Mike et Jennifer, collègue de travail de Sara, direction Phillip’s Island où se trouve une réserve nationale de Koala, la réserve nationale pour la parade des pingouins, les wallaby se promènent en liberté (dans la même famille que les kangourous et c’est comme un chevreuil, il faut les éviter avec la voiture pendant la nuit) et excellente plage pour débuter le surf.
Koala: mission accomplie, et malgré le fait que ces petites bêtes dorment 22 heures par jour, nous en avons même vu bouger.
Parade des pingouins: à la tombée de la nuit, des centaines de pingouins nains (presque 1000 en fait) sortent de la mer pour retrouver leur nid et leur progéniture. Nous avons pu les observer de près et suivre leur parade (ou est-ce eux qui nous ont suivi? Certains téméraires nous se sont rendus jusqu’à la voiture, soit 1 à 2 heures de marche à pas de pingouin nain...)
Koala: mission accomplie, et malgré le fait que ces petites bêtes dorment 22 heures par jour, nous en avons même vu bouger.
Parade des pingouins: à la tombée de la nuit, des centaines de pingouins nains (presque 1000 en fait) sortent de la mer pour retrouver leur nid et leur progéniture. Nous avons pu les observer de près et suivre leur parade (ou est-ce eux qui nous ont suivi? Certains téméraires nous se sont rendus jusqu’à la voiture, soit 1 à 2 heures de marche à pas de pingouin nain...)
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